La lavande, joyau provençal
La lavande, symbole provençal par excellence, est cultivée depuis des siècles au coeur du bassin méditerranéen.C’est en 1753 que le naturaliste suédois Carl von Linné en fera mention pour la première fois.
La France est aujourd’hui le deuxième plus gros producteur de cette plante mellifère.
Les lavandes vraies poussent à partir de 1200 m, sur les versants ensoleillés de la montagne. La qualité de cette fleur est réputée augmenter avec l’altitude.
Les régions du Vaucluse et de la Drôme provençale représentent, à elles seules, les fiefs de production. Sa récolte se pratique avant l’ouverture de la fleur de fin juillet à fin août.
La récolte de la lavande
Les lavandes vraies poussent à partir de 1200 m, sur les versants ensoleillés de la montagne. La qualité de cette fleur est réputée augmenter avec l’altitude.
Les régions du Vaucluse et de la Drôme provençale représentent, à elles seules, les fiefs de production. Sa récolte se pratique avant l’ouverture de la fleur de fin juillet à fin août.
La lavande offre de multiples usages
Son étymologie latine rappelle que très tôt elle a été utilisée pour rafraîchir le linge, on la retrouve également dans le domaine pharmacologique pour ses propriétés antiseptiques et calmantes. Enfin, elle occupe une place prépondérante dans le secteur de la parfumerie. Plus surprenant encore, elle se décline en cuisine en étant déployée dans des glaces, des crèmes et infusions.
Depuis les années 80, les producteurs de lavandes doivent faire face à un grave problème sanitaire : le dépérissement à phytoplasme du Stolbur, maladie responsable de mortalités de plants et de nombreux arrachages précoces de parcelles. Les parcelles fortement touchées par la maladie sont de moins en moins productives et les producteurs sont contraints de les arracher au bout de trois ou quatre ans dans les cas les plus graves, au lieu de 10 voire 15 ans traditionnellement. Les mortalités de plants se sont aggravées depuis le début des années 2000, certainement à cause d’une augmentation de la pression en insecte vecteur (la cicadelle H. obsoletus) et d’épisodes climatiques difficiles.
Le dépérissement des lavandes : fléau depuis les années 80
Depuis les années 80, les producteurs de lavandes doivent faire face à un grave problème sanitaire : le dépérissement à phytoplasme du Stolbur, maladie responsable de mortalités de plants et de nombreux arrachages précoces de parcelles. Les parcelles fortement touchées par la maladie sont de moins en moins productives et les producteurs sont contraints de les arracher au bout de trois ou quatre ans dans les cas les plus graves, au lieu de 10 voire 15 ans traditionnellement. Les mortalités de plants se sont aggravées depuis le début des années 2000, certainement à cause d’une augmentation de la pression en insecte vecteur (la cicadelle H. obsoletus) et d’épisodes climatiques difficiles.
Le fonds de sauvegarde de la Lavande en Provence
Maison Brémond 1830 soutient activement le fonds de Sauvegarde de la Lavande en Provence en proposant des produits solidaires 100% Provence comme le coussin à la lavande ou encore le savon corde à la lavande. Pour chaque vente, 20 centimes d’euro de ces produits sont reversés au fonds de dotation «Sauvegarde du Patrimoine Lavandes en Provence».